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« Il manque cruellement de professionnels de proximité »

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La violence n’a pas globalement augmenté chez les jeunes des quartiers pauvres, même si certains endroits peuvent être plus touchés que d’autres. Pour la prévenir dans un contexte où la précarité augmente, où le deal devient la norme et où les réseaux sociaux s’enflamment, le rôle des adultes, et particulièrement des acteurs de terrain, est central.
Les jeunes d’aujourd’hui sont-ils plus violents ?Si on essaie d’objectiver le phénomène par les données judiciaires et policières dont on dispose ou les enquêtes de victimation, la réponse est « non ». Tous les indicateurs sont plutôt constants, mais il faudrait nuancer en fonction des territoires. On ne raisonne pas sur une année ou deux mais sur des tendances longues. En revanche, il y a une sorte de mini-panique à l’égard de certains agissements juvéniles qui peuvent être très brutaux. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Le mot « violence » recouvre des situations si différentes les unes des autres qu’il ne veut plus rien dire. Toutefois, il est vrai que dans certains endroits, les trafics et les réseaux de deal se sont professionnalisés au point d’être hyperconcurrentiels. Ils recrutent et enrôlent…
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