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« Une forme de dialogue de sourds persiste »

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Pour le sociologue Bruno Michon, spécialiste des questions de laïcité, le débat se crispe autour des demandes exprimées par les populations migrantes d’une reconnaissance de leurs particularismes, revendications perçues souvent négativement comme le signe d’un communautarisme.
Quelle place occupe aujourd’hui la question de l’interculturalité au sein des associations de migrants ?Il convient d’éviter toute généralisation. Mais, autour de Strasbourg en tout cas, les associations créées par les premières générations de migrants tendent à se repositionner. Elles ne se limitent plus au seul champ de l’aide aux migrants, mais se préoccupent de citoyenneté, d’interculturalité, de lutte contre les discriminations. Ainsi leur champ s’élargit-il à la fois à l’éducation populaire et à la citoyenneté. Cela traduit sans doute une évolution de la société, mais reflète aussi le simple changement de génération, celle d’enfants nés en France de parents immigrés et qui luttent pour l’accès aux droits des personnes migrantes tout en promouvant l’intégration sociale et le droit à l’égalité républicaine.Sont-elles en partie contraintes à cette évolution ?Il est…
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