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La jeunesse à nouveau une affaire d’Etat ?

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Il faut en finir avec l’idée que la jeunesse serait une classe dangereuse et mener des politiques de prévention portées au niveau de l’Etat. L’annonce de la création de 600 postes d’éducateurs et de médiateurs va dans le bon sens, mais une approche quantitative ne saurait suffire.
« L’information est passée quasiment inaperçue. Le 23 mars dernier, cinq éducateurs de rue ont été invités par la ministre chargée de la Ville à lui faire part de leurs analyses concernant les violences des jeunes(1). Plus prosaïquement, cette rencontre servait aussi de tremplin à l’annonce de la création des “bataillons de la prévention” composés de 600 éducateurs et médiateurs sociaux dans 45 quartiers prioritaires. On n’épiloguera pas ici sur la rhétorique guerrière qui gagne tous les registres de l’intervention publique, comme si celle-ci ne pouvait trouver d’autres sources de légitimité que le combat, y compris en matière de jeunesse et de prévention. On s’arrêtera plutôt sur le choix des interlocuteurs par la ministre, révélateur de plusieurs évolutions significatives concernant la jeunesse, ses problèmes, la considération accordée à ceux qui s’en occupent et…
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