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« A la campagne, une assistante sociale suit parfois les personnes sur plusieurs générations »

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Avant d’opérer un virage vers le milieu rural en ouvrant le centre social de Magny-en-Vexin (Val-d’Oise) en 2018, la responsable de l’espace Marianne était spécialisée dans le conseil aux collectivités territoriales sur les enjeux de la politique de la ville. Une double expertise qui lui permet de mettre ces deux mondes en perspective.
Vous notez des similitudes entre quartiers éligibles aux politiques de la ville et milieu rural. Quelles sont-elles ?La plus frappante tient sans doute à l’isolement des personnes. L’exclusion sociale est la même que l’on vive dans une tour de 15 étages avec un ascenseur en panne ou au fin fond d’un petit village dans une maison trop grande. Tant qu’elle ne fait pas appel à une institution, une personne qui vit seule, qui peut encore se débrouiller et faire preuve d’autonomie, même si elle est en souffrance, malgré nos efforts, on peine à savoir qu’elle existe et donc à intervenir. Mais la différence notoire entre ces deux espaces de vie tient à la capacité à pouvoir se déplacer. Les administrations et les services ne sont jamais aussi éloignés qu’à la campagne. Or la distance représente un véritable barrage pour…
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