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Des accompagnements spécifiques encore insuffisants

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Souvent à la tête de familles monoparentales, particulièrement fragilisées par la crise, les femmes en difficulté requièrent des prises en charge adaptées, qui tiennent compte de leurs besoins propres. Si une prise de conscience est à l’œuvre, en pratique, de nombreuses solutions manquent encore, et la misère en profite pour s’installer dans la durée.
Un premier service d’accueil et de soutien (SAS) a d’abord existé, fixe, à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). Six ans après sa création, en 2019, deux autres, mobiles cette fois, ont fait leur apparition, avec le soutien de collectivités territoriales et d’opérateurs du logement social, pour couvrir tout le département, la frange littorale et l’intérieur des terres. Le principe ? Des travailleurs sociaux vont à la rencontre des femmes en difficulté, là où elles se trouvent. Ces dernières sont souvent victimes de violences et freinées par des problèmes de mobilité, souligne l’association Solidarité estuaire, qui porte ce service. Pour compléter le dispositif, entre les passages dans les villes et villages, une permanence téléphonique reste ouverte à l’écoute. Une forme de prise en charge spécifique…
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