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Le tabou de la mort recule pas à pas

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Tantôt prévisible, souvent brutale et, en temps de pandémie, terriblement fréquente, la mort frappe au sein des établissements médico-sociaux. En premier lieu, ceux qui accueillent des personnes âgées, bien sûr. Mais aussi, de plus en plus, du fait de leur vieillissement, ceux où vivent des hommes et des femmes handicapées. Qu’ils les aient connus et accompagnés quelques jours ou durant des décennies, les intervenants doivent affronter ces décès qui, sans doute, représentent le moment porteur du questionnement le plus complexe sur la bonne distance et la bonne posture qu’ils doivent adopter. Tout professionnels qu’ils soient, le juste positionnement n’interdit pas les émotions.De plus, la mort détient un puissant effet miroir. Pour, malgré tout, se dégager de leurs propres angoisses, de leur propre vision et expérience du deuil ou de la fin de vie, les travailleurs médico-sociaux doivent s’outiller. Dans cette optique, de plus en plus de cursus sont bâtis sur mesure pour répondre aux besoins des établissements par les instituts régionaux du travail social ou les associations gestionnaires dotées d’un centre de formation. Mais elles sont encore trop rarement dispensées aux équipes dans…
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