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Fin de vie : un nécessaire accompagnement

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Au sein des institutions pour personnes âgées et pour personnes en situation de handicap, la question de la mort n’est que rarement abordée. La peur que le sujet évoque reste puissante. Pourtant, les professionnels y sont régulièrement confrontés. Certains établissements commencent doucement à évoquer la fin de vie avec les résidents.
En moyenne, chaque année, plus de 150 000 résidents dé­cèdent en Ehpad (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), soit un peu plus d’un par mois et par structure. Dès lors, comment accompagner les usagers dans cette épreuve ultime ? Une question éthique qui, sur le terrain, a encore du mal à trouver des réponses. Malgré la loi « Leonetti » de 2005 sur les droits des malades et la fin de vie (voir encadré ci-dessous), la gestion de la mort demeure bien souvent un tabou dans les institutions médico-sociales. Un sondage de la Fondation Korian pour le Bien-Vieillir, publié en 2018, indique que 77 % des établissements dissimulent le départ du défunt et que seulement 12 % accomplissent un rituel autour du corps. Et si 68 % des répondants envoient à la famille une carte de condoléances ou des fleurs,…
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