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« On sent le besoin d’une guidance parentale »

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Pour la magistrate Stéphanie Hébrard, les travailleurs sociaux et les juges manquent d’outils pour endiguer la radicalisation des conflits parentaux.
Comment la justice a-t-elle évolué face aux conflits parentaux ?Ces conflits ont connu une augmentation en nombre et en gravité, avec l’augmentation des séparations, bien sûr, mais aussi avec l’émergence de la notion de « coparentalité », susceptible de dégénérer en rivalité parentale. Face à la montée des contentieux, le législateur a introduit la médiation familiale dans le dispositif légal. L’expérimentation de la tentative de médiation familiale préalable obligatoire (TMFPO), qui signe une volonté de généraliser cet outil de pacifi­cation, est une bonne mesure pour sensibiliser à l’idée que la saisine d’un juge ne doit pas être automatique et que la recherche du consensus entre dans les devoirs de l’autorité parentale et de la coparentalité. Elle produit des effets statistiques intéressants. Au début 2019, localement, sur l’ensemble des saisines TMFPO, 43,2 % ont donné lieu à la poursuite d’une médiation et, sur celles-ci, 61 % à des accords complets ou partiels.Depuis quand parle-t-on de « conflit…
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