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« Fier de croiser un jeune qui s’en est sorti »

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« J’ai commencé comme animateur socioculturel en 1995. Ensuite, j’ai été moniteur-éducateur puis éducateur spécialisé, et je viens de terminer le cursus du Cafdes [certificat d’aptitude aux fonctions de directeur d’établissement ou de service d’intervention sociale]. A l’adolescence, un éducateur de rue que j’ai rencontré m’a impulsé l’envie de faire ce métier. Je n’aimais pas l’école, mais ce monsieur m’a donné confiance en moi. Aujourd’hui, je suis responsable d’une équipe d’éducateurs de rue à l’association Avenirs des cités, en périphérie de Lens (Pas-de-Calais).Ce que j’aime dans la prévention spécialisée, c’est le principe de libre adhésion. Rien n’est forcé, c’est l’usager qui choisit de venir à nous. On est vraiment dans un travail de proximité qui va jusqu’à accompagner le jeune physiquement pour l’aider dans ses démarches. Quand on est éducateur de rue, on est dans le quartier, les gens pensent que vous habitez là. On est un peu des leurs. C’est fondamental pour qu’une relation de confiance s’établisse et qu’un parcours se construise. On travaille avec des jeunes de 11 à 16 ans, des décrocheurs scolaires souvent, mais aussi avec des familles. Le problème est qu’on rencontre…
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