La force des réseaux, gage d’entraide et de professionnalisme
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« En tant qu’indépendant, on est un électron libre mais on a besoin d’échanger avec ses pairs sur le positionnement à adopter », explique Carmen Kohl-Wahl, présidente de l’Association réseau national des travailleurs sociaux indépendants (ARTSI). Née en 1999 sur le champ du service social en entreprise, l’association permet des échanges informels et des réunions de travail sur le métier et ses évolutions. Pour garantir le sérieux de ses adhérents, la structure a élaboré une charte, validée par l’Association nationale des assistants de service social (Anas). Ce texte invite ses signataires à respecter la déontologie de leur profession. « Les adhérents qui reçoivent des particuliers à titre payant s’engagent à informer ces derniers de l’existence d’un service social public et/ou institutionnel gratuit ainsi que du montant de leurs honoraires. Ils s’engagent à privilégier l’intérêt du client au sien propre. » La charte rappelle que l’ARTSI fonctionne sur la base d’échanges d’informations et d’entraide technique. « En contrepartie, toute concurrence déloyale est non seulement proscrite mais sera cause d’exclusion de l’association. » De la même manière, Humacitia impose des conditions à…
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