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« Un deuil à faire »

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COMPLEXE DANS SON ORGANISATION, UNE OPERATION DE FUSION NECESSITE DE PRENDRE EN CONSIDERATION LES INQUIETUDES DE TOUTES LES PARTIES PRENANTES (dirigeants, salariés, bénévoles, usagers, créanciers, financeurs…) et de conduire chacune d’elles au changement d’identité, de management, de fonctionnement, de méthodes. Une dynamique collective doit être mise en place, et la fusion doit intégrer une véritable stratégie de conduite du changement, qui s’appuie sur une communication interne et externe facilitant l’acceptation des changements. « En termes de communication, il faut mettre le curseur au bon endroit, précise Catherine Broyez, fondatrice du cabinet Coopessance. Si c’est trop tôt, la communication sera trop floue et cela génèrera des craintes, des rumeurs. Si c’est trop tard, on met les personnes devant le fait accompli et, en termes de dialogue social, ce n’est pas recommandé. La loi elle-même prévoit que les salariés soient informés deux mois avant la date du conseil d’administration qui va voter la fusion. »Informer au même moment dans les différentes structures qui vont fusionner garantit un équilibre de la connaissance de l’état d’avancement du projet entre les équipes. « C’est…
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