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Une réforme sans vision ?

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OFFICIELLEMENT CREEE PAR UNE LOI DU 7 AOUT DERNIER, la branche autonomie, qui devrait s’ajouter aux quatre risques existants (maladie, retraite, famille, accidents du travail et maladies professionnelles) était attendue depuis quinze ans. La crise sanitaire provoquée par la pandémie de Covid-19 a accéléré le choix, éminemment politique, de la mettre en place. Mais le principe de la création a été posé avant même qu’une vision n’ait été définie et, a fortiori, partagée par toutes les parties prenantes. Résultat : elle semble apparaître davantage pour répondre à l’urgence que pour traduire une vision de la société ou, du moins, de la protection sociale. Au risque de se traduire par un empilement de mesures techniques ?C’est du moins l’impression qui se dégage au vu des réactions des acteurs du secteur aux propositions que développe Laurent Vachey (inspecteur général des finances) dans son rapport remis au gouvernement le 14 septembre dernier sur son architecture et son financement. Bon nombre d’entre eux estiment que la réforme « historique » prend, pour l’heure, les traits d’une réformette (voir page 10).Pourtant, derrière des transferts de financements ou de compétences entre les agences…
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