Publié le : Dernière Mise à jour : 17.09.2020Par : S. M.Lecture : 1 min.
Pour le spécialiste, qui a accompagné ces deux dernières années APF France handicap, la démarche RSE doit s’appuyer sur des volontaires et se faire pas à pas.
Quelle était la demande d’APF France handicap lorsqu’elle vous a sollicité ?Elle voulait être aidée pour réaliser l’état des lieux et élaborer sa feuille de route RSE. Pour y parvenir, nous avons examiné deux projets pilotes, dans les Hauts-de-France et au sein d’APF Entreprises, réalisé des interviews puis mis en place un comité de pilotage national pour construire un consensus sur les éléments de constat.A quelles difficultés un mouvement national comme celui-là vous semble-t-il être confronté ?La structuration d’une démarche d’achats responsables, d’abord. Mais il y a aussi des enjeux autour de la pénibilité de certains postes et des conditions de travail. De même, rendre le bâti plus économe en énergie ne se décrète pas du jour au lendemain. Enfin, APF France handicap n’a pas encore de culture des indicateurs de mesure de performance ou d’impact de ses actions.Pourquoi le secteur médico-social doit-il s’intéresser à la RSE ? Sa seule mission n’en fait-il pas un acteur responsable ?Non.…
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