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Pas de relance pour les plus précaires

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Bien que les plus précaires comptent parmi les victimes les plus touchées par la crise et basculent dans la pauvreté, le plan de relance du gouvernement fait l’impasse sur des mesures structurantes qui auraient témoigné de sa prise en considération du problème. Pire : certaines réformes semblent avoir été jetées aux oubliettes. Un choix critiqué par Jérôme Voiturier, directeur général de l’Uniopss.
« LA CRISE SANITAIRE ET SES CONSEQUENCES ECONOMIQUES TOUCHENT TOUTES LES CATEGORIES DE LA POPULATION quels que soient l’âge, les conditions de vie, les ressources, le lieu de vie. Les plus fragiles et les plus vulnérables en premier lieu. Ceux pour qui le moindre événement exceptionnel n’est pas supportable financièrement. La hausse des dépenses liées au confinement (fermeture des cantines scolaires, hausse des dépenses alimentaires et des charges d’électricité et d’eau) ainsi que la baisse de certaines recettes (chômage partiel, perte d’emplois, suspension de l’économies informelles…) ont dès lors fortement impacté les plus précaires, mais également une grande frange de la population se trouvant à la limite de la pauvreté avant ces événements. Comme…
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