Recevoir la newsletter

L’inclusion scolaire entre conservatisme associatif et réduction des coûts

Article réservé aux abonnés

Après la loi du 11 février 2005, la voie de l’inclusion semblait enfin tracée. Pourtant, l’accès des enfants handicapés aux milieux ordinaires reste dérisoire au regard des besoins et des intentions affichées. Un état de fait regrettable, enraciné dans des décennies d’approches conservatrices du handicap.
« EN FRANCE, AU TRAVERS DE L’ACTION SOCIALE ET MEDICO-SOCIALE, L’ETAT A LA RESPONSABILITE DE PROMOUVOIR L’AUTONOMIE ET LA PROTECTION DES PERSONNES. En 2016, quelques circulaires ont annoncé la marche en avant de la transformation de l’offre de services du médico-social. Ainsi, le comité interministériel du handicap (CIH) du 2 décembre 2016 proposait de “changer durablement de regard et de méthode pour accompagner l’autonomie des personnes concernées, renforcer leur citoyenneté […] en rendant la société plus accueillante et plus inclusive”.Cette proposition politique a été mise en place par de nombreuses circulaires qui ont recommandé le développement de fonctions ressources, une logique de parcours global en lieu et place d’établissements spécialisés et cloisonnés. Et elle s’est vue complétée par la circulaire du 15 mai 2018 relative au temps…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Tribune

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur