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Nous ne pouvons plus nous permettre d’agir de façon « artisanale »

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Pour lutter efficacement contre la pauvreté, les associations doivent œuvrer à leur réorganisation, qui implique parfois des fusions. Et mutualiser, y compris avec le secteur privé lucratif, les compétences et expertises, estime Arthur Anane, directeur général d’Equalis et président de la FAS Ile-de-France.
« À l’heure du déconfinement et d’un relatif sursis sanitaire, de nombreuses voix s’élèvent pour réclamer une société plus juste, parmi lesquels un grand nombre d’acteurs de l’économie lucrative et non lucrative.Car nous devons empêcher que la deuxième vague sociale qui s’annonce soit une lame de fond, susceptible de mettre en péril notre pacte social fondé sur la solidarité. La pauvreté et les besoins d’accueil et d’accompagnement qui en découlent augmenteront inéluctablement. Et nous devrons y apporter les réponses que l’exigence éthique de notre société impose et qui fait notre fierté : celle de donner à tous les moyens de subvenir à ses besoins fondamentaux – un toit, un travail, un accès aux soins et à l’éducation.Professionnaliser les acteursPour apporter des réponses solidaires réellement adaptées, et lutter efficacement contre la…
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