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La Cour des comptes tance la politique nationale de la protection de l’enfance

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Multiplication des instances, manque de coordination, dispositif statistique à repenser… Dans un référé adressé au Premier ministre, la Cour des comptes fait état d’une gouvernance nationale « défaillante » en matière de protection de l’enfance et appelle à un meilleur pilotage.
« Clarification » et « simplification ». Voici les deux principes directeurs préconisés par la Cour des comptes pour revoir le pilotage à l’échelle nationale de la protection de l’enfance. Dans un référé adressé au Premier ministre, la doyenne des présidents des chambres de la Cour des comptes, Sophie Moati, met en lumière de nombreuses failles au sein de la politique menée par le gouvernement français à ce sujet.Rendu public le 20 juillet, le document pointe tout d’abord une « surexposition médiatique » des différents aspects de la protection de l’enfance : exécution des décisions de justice, aide sociale à l’enfance, état des lieux et perspectives d’évolution du groupement d’intérêt public Enfance en danger (Giped)… Selon la juridiction, la multiplication des rapports parlementaires et d’instruction ainsi que des travaux, parfois inachevés, mettent « en forte tension…
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