Une dizaine d’associations se sont fendues, le 29 avril, d’un courrier au ministre de l’Intérieur sur leurs points d’attention et propositions s’agissant de la demande d’asile, de l’hébergement et de l’accès aux droits pendant le déconfinement. Une réunion avec la direction générale des étrangers en France, prévue la semaine passée, a été reportée à la semaine prochaine : « Nous le regrettons : nous aimerions avoir plus d’informations sur la façon dont les choses vont s’organiser », confie Maëlle Lena, chargée de mission « réfugiés/migrants » à la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS). A la veille du 11 mai, ces organisations ne disposent que d’une « visibilité très limitée sur la reprise de l’activité en préfecture », pointe la responsable associative.
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?