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« Des enfants s’effondrent, mais d’autres s’adaptent »

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psychologue, directeur général du groupement associatif CithéA
Quelles sont les conséquences de la suspension des DVH pour les enfants placés ?Comme pour tous les enfants, la première conséquence est la rupture de leur quotidien dans la relation à leurs parents. Néanmoins, pour les enfants placés, leur rythme a été profondément impacté selon la fréquence de ces rencontres parentales, soit une fois par semaine, le week-end ou tous les quinze jours. Lors de la mise en confinement, les foyers ont été dépassés comme tout le monde, car personne n’était préparé à une telle situation. La priorité a été, pour eux, plus sanitaire qu’émotionnelle et, dans les premiers temps, les mises en relation par téléphone et visioconférence entre les parents et les enfants étaient extrêmement complexes en termes d’organisation et de matériel numérique. A présent, cela s’est plus ou moins régularisé.Une telle situation peut-elle engendrer un mal-être chez ces enfants ?Les enfants en protection de l’enfance ont une problématique abandonnique extrêmement forte, et la modulation de la présence de leurs référents – dont les parents – a des conséquences sur leur humeur.…
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