Recevoir la newsletter

Confinement : les exclus contaminés dans les hébergements surpeuplés

Article réservé aux abonnés

Promiscuité, absence de points d’eau, de sanitaires… Un mois après le début du confinement, le Collectif des associations unies alerte sur la situation dramatique des plus démunis.
Certes, 9 000 places d’hébergement ont été ouvertes en urgence par le gouvernement et 80 places ont été créées dans les centres d’hébergement spécialisés pour les personnes sans abri ou mal logées contaminées par le coronavirus. Mais 2 000 personnes sont encore à la rue et appellent le 115 chaque soir, en vain, constate le Collectif des associations unies dans un premier bilan dressé depuis le début du confinement généralisé.« Cette interpellation vise à empêcher de nouvelles hécatombes. De nombreuses actions volontaristes, que l’on disait hier impossibles, ont été accomplies, mais beaucoup reste à faire », s’inquiète le Collectif. Ainsi, pour la journée du 9 avril, 53 % des appels au 115 sont restés sans solution (hors de Paris). Dans le Nord ou en Gironde, ce taux atteint même 90 %, 72 % dans le Rhône, 68 % en Haute-Garonne, 62 % dans l’Hérault. En Isère, aucune des 91 demandes d’abri n’a été satisfaite ce soir-là, laissant… 34 enfants dormir dehors. Ce sont surtout…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

L’événement

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur