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Les plus pauvres sont les plus grands perdants

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Il est plus que temps d’écouter les plus précaires, pour qu’enfin les politiques publiques cessent de les mettre toujours plus en difficulté. Or, depuis trois ans, leur situation se dégrade, et les décisions prises par le gouvernement y sont pour beaucoup.
OFCE, Insee, IPP, Cour des comptes, Oxfam, Onpes, Secours catholique… Les rapports et alertes se succèdent et vont dans un même sens : depuis le début du quinquennat, la part des personnes sous le seuil d’extrême pauvreté augmente, les plus pauvres restent les grands perdants des mesures budgétaires et sont les seuls à ne pas avoir vu, depuis trois ans, leur pouvoir d’achat augmenter significativement. Ces rapports démontrent l’urgence d’évaluer les politiques publiques sur les 10 % les plus pauvres.Concrètement, cela signifie que les conditions de vie des familles se dégradent, que les conditions de logement se précarisent et que les taux d’effort sont en augmentation.Ainsi le dernier rapport de l’Observatoire des inégalités cloue-t-il au pilori le discours sur le “pognon de dingue”, sur les “premiers de cordée” et sur le “ruissellement” des richesses concentrées en haut de la pyramide.Injustices…
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