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« Les projets territoriaux de santé mentale seront très inégaux »

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Alors que 20 millions d’euros ont été dédiés au renforcement de l’offre en pédopsychiatrie et que le gouvernement a annoncé la poursuite en 2020 de l’effort budgétaire, la présidente de l’Unafam juge que l’on est loin du compte.
Les mesures gouvernementales pour la pédopsychiatrie vous semblent-elles aller dans le bon sens ?Dans le bon sens, oui, mais insuffisantes. Il y a eu une prise de conscience de la part du secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance que toute une partie des enfants relevant de l’aide sociale de l’enfance (ASE) étaient mal pris en charge. Toutefois, les moyens qui vont permettre une prise en compte réelle des besoins, de la situation de ces enfants sont encore nettement insuffisants.Quelles sont, selon vous, les priorités ?La priorité est qu’il y ait plus de repérages des troubles psychiques, des maladies métaboliques qui vont entraîner des troubles psychiques, des troubles du neurodéveloppement. Ces repérages permettent d’identifier les besoins de ces enfants et donc d’y répondre plus facilement. Aujourd’hui, compte tenu de l’état de la pédo­psychiatrie, du temps d’attente pour avoir accès à un CMP, à un CMPP, on met…
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