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Les plus précaires laissés pour compte

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Depuis 1999, les plans se succèdent sans que les soins palliatifs et l’accompagnement en fin de vie ne parviennent à se déployer « partout et pour tous ». En cause, selon un rapport de l’Igas publié le 13 février, l’absence de prise en compte de la nécessité de personnels formés et de moyens.
Un « développement progressif mais encore insatisfaisant de la prise en charge palliative en France, toujours confrontée à une série de difficultés et d’obstacles sérieux au moment même où son environnement évolue rapidement ». C’est ainsi que l’inspection générale des affaires sociales (Igas) présente une situation dégradée en introduction de son rapport d’évaluation du « plan 2015-2018 sur les soins palliatifs et l’accompagnement de la fin de vie ». Alors que le nombre de personnes âgées augmente, que les données démographiques confirment l’ampleur du mouvement, les soins palliatifs et l’accompagnement de la fin de vie restent le « parent pauvre » des soins. Quelques chiffres : entre 2010 et 2018, le nombre de décès est passé en France de 551 000 à 614 000, et l’Insee estime que ce chiffre dépassera les 700 000 en 2060. Avec une hausse concomitante du…
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