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Des chiffres qui interrogent

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Moins d’embauches de personnes en insertion et une durée de travail allongée, c’est ce qu’a observé le ministère du Travail en 2018. Pourtant, la ministre Muriel Pénicaud promet un doublement des effectifs dans l’intérim d’insertion d’ici à 2022. Celle-ci vient d’ailleurs de signer, avec Thibaut Guilluy, président du Conseil de l’inclusion dans l’emploi, et Luc Gardelle, président de la Fédération des entreprises d’insertion, un pacte pour le développement de l’intérim d’insertion. Mais dans le même temps, la dernière étude de la Dares (Direction de l’animation, de la recherche, des études et de la statistique), pointe, en 2018, une baisse des embauches dans les différentes structures d’insertion par l’activité économique. Cette année-là, ils étaient 132 000 salariés en insertion, un chiffre en baisse de 4,7 % par rapport à 2017. L’ensemble des 3 803 structures conventionnées par l’État est concerné. Le principal employeur demeure les associations intermédiaires, avec 40,1 % des effectifs, suivies par les ateliers et chantiers d’insertion, totalisant 38,3 % des personnes accompagnées vers l’emploi. Les entreprises d’insertion et entreprises de travail temporaire d’insertion, elles,…
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