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« L’important, c’est l’accès au droit commun »

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Chargée de mission « réfugiés-migrants » et « enfance-famille » à la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS), Maëlle Léna regrette que le dispositif « Hope » ne concerne finalement que peu de personnes, du fait des critères de sélection d’entrée.
Comment la politique d’intégration des réfugiés en France évolue-t-elle ?Les crédits affectés à la politique d’intégration des réfugiés ont augmenté, mais le nombre de bénéficiaires, lui aussi, s’est accru. En 2018, la Cour des comptes avait ainsi dénoncé le fait que les prévisions budgétaires ne prenaient pas suffisamment en compte l’augmentation du nombre de demandeurs d’asile. Les budgets chiffrés pour leur allocation – qui est un droit – n’étaient pas réalistes. Un mouvement de crédits s’est opéré entre ceux prévus pour l’intégration et pour l’accueil des demandeurs d’asile. Forcément, on le déplore. La création en 2018 de la délégation interministérielle à l’accueil et à l’intégration des réfugiés (DiAir) est censée permettre un travail de coordination entre institutionnels et associatifs.Qu’en est-il de la problématique de l’hébergement ?Le nombre de places dans les centres provisoires d’hébergement…
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