La première Rencontre nationale des services de baluchonnage français s’est déroulée le 30 janvier, à Paris. L’occasion, un peu moins d’un an après la sélection des candidats, de faire un point sur l’expérimentation de ce dispositif de suppléance des aidants.
C’est un constat unanime. Tous les porteurs de projets présents déplorent un cruel manque de financements. Un état de fait formulé lors de cette journée de séminaire national de Baluchon France. Chacune des dix structures présentes espèrent prochainement pouvoir mettre en œuvre le baluchonnage(1) en son sein. Rachel Petitprez, directrice de Baluchon France, a analysé dans le détail leur situation pour en tirer des conclusions et en diffuser la synthèse. Par exemple, si tous les porteurs de projets ont fait une demande de financement auprès de leur conseil départemental, ils n’ont pas tous eu un retour positif.Des conseils départementaux peu investisPlus précisément, seulement trois structures bénéficieront, dans les prochaines semaines, d’une subvention annuelle. Un conseil départemental le fera à hauteur de 30 000 €, un autre de 60 000 € et le dernier pour un montant encore inconnu à ce…
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