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De la mise en place d’un bon baluchonnage

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Cette journée d’échanges entre différents acteurs du baluchonnage en France a aussi été l’occasion de mettre en avant quelques principes indispensables à la réussite d’un baluchonnage. Frédérique Lucet, doctorante en sociologie du travail, a longuement étudié le sujet. Elle a notamment effectué 27 heures d’entretien avec 17 baluchonneuses québécoises. « Le baluchonnage est une mission loin d’être ordinaire », c’est pourquoi elle estime que le premier facteur de succès est une bonne préparation. « Dans les jours, voire les semaines, précédant le baluchonnage, il faut commencer à réfléchir à comment pouvoir le mener correctement, assure-t-elle. Il y a un travail de recherches à effectuer en amont sur la pathologie, les problèmes, la vie quotidienne, les difficultés de l’aidé et de l’aidant. »Une fois ce travail effectué, il faut suivre une formation. Celle-ci permet de se rendre réellement compte de ce qu’est le baluchonnage, de ce que représente cette pratique professionnelle. « Elle permet au futur balluchonneur de confirmer son choix. Mais elle permet aussi à l’organisme de vérifier que la personne en question est capable de baluchonner. Il y a donc une importance réciproque », analyse…
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