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« Nous allons devoir calculer notre marge et nos coûts de revient »

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D’une ampleur inédite, la réforme de l’apprentissage portée par la loi du 5 septembre 2018 « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » ouvre la voie à un marché libéralisé. Entretien avec Florence Breitwieser, directrice de CFA.
Quels sont les points positifs de la réforme ?Nous manquons bien évidemment de recul pour lister tous les impacts de la réforme sur notre fonctionnement au quotidien. Mais nous pouvons d’ores et déjà nous réjouir de la facilitation des process. Il n’y a plus besoin d’attendre 18 mois pour ouvrir une formation. Dès qu’un employeur nous sollicite, nous pouvons satisfaire son besoin d’apprentis.Les process administratifs seront également simplifiés. Nous bénéficierons désormais d’un coût par branche pour une formation. Auparavant, je devais compter sur la subvention de la région, celle issue de l’accord de la branche sanitaire et social ainsi que d’un montant, certes moindre, en provenance de la taxe d’apprentissage. C’était une tâche lourde d’équilibrisme budgétaire. Enfin, la relation avec les Opco, organismes paritaires collecteurs, est renforcée. Ces opérateurs de compétences nous permettront d’avoir accès…
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