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« Le travail paie, mais ne garantit pas toujours de sortir de la pauvreté »

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Alors que la concertation sur le futur revenu universel d’activité (RUA) se poursuit, une étude de France Stratégie constate que si la reprise d’une activité professionnelle permet d’augmenter le niveau de vie d’un ménage, elle ne garantit pas nécessairement une sortie de la pauvreté.
Dans une étude publiée le 16 décembre(1), France Stratégie, service d’analyse et de prospective rattaché au Premier ministre, se penche sur les dispositifs de protection contre la pauvreté et de gains monétaires au travail depuis 2000.Après la mise en place du revenu minimum d’insertion en 1988, qui visait à lutter contre l’extrême pauvreté, de nouveaux dispositifs cumulables ont été pensés afin d’inciter les ménages sans emploi à travailler. Résultats probants ? Jusqu’en 2004, le revenu disponible d’un célibataire sans emploi était plus élevé que celui d’un célibataire travaillant à mi-temps à cause notamment de la dégressivité des aides au logement lorsque le revenu augmentait. « L’introduction de la prime pour l’emploi, revalorisée plusieurs fois, a mis fin à cette situation et a d’abord rendu intéressante la reprise d’activité pour un niveau de rémunération…
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