Le département de Seine-Saint-Denis monte de nouveau au créneau. Pour rappel, il avait annoncé, le 19 novembre dernier, la saisie du Comité des droits de l’enfant de l’ONU concernant la situation des mineurs non accompagnés. Le Département accuse l’État français de mal protéger ces enfants du fait de l’insuffisante de sa contribution financière pour leur prise en charge, ce qui est contraire à la Convention internationale des droits de l’enfant. Nouvelle prise de position, le 28 novembre, à l’occasion du déplacement d’Adrien Taquet sur ses terres. Dans la foulée des annonces associées à la clôture du Grenelle des violences conjugales, le secrétaire d’État chargé de la Protection de l’enfance s’est en effet rendu à Bobigny, au siège de l’association Sauvegarde 93, afin de découvrir les dispositifs visant à protéger les femmes mais aussi les enfants, également victime de ces violences. Il a ainsi pu observer la mise en pratique de la mesure d’accompagnement protégé, l’espace rencontre protégée et le protocole féminicide. Ces dispositifs ont été lancés en Seine-Saint-Denis par le Département, et plus particulièrement par l’Observatoire contre les violences faites aux femmes, en lien avec…
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