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« Développer la médiation familiale en milieu carcéral »

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Selon le ministère de la Justice, entre 70 000 et 140 000 enfants seraient concernés chaque année par l’incarcération d’un de leurs parents. L’avis du Cese note que les relations familiales sont « considérablement fragilisées » par l’incarcération.
Au 1er décembre 2018, 111 parloirs familiaux étaient en fonctionnement dans 31 établissements pénitentiaires et 163 unités de vie familiale (UVF) dans 50 établissements pénitentiaires (dont 26 également dotés d’un parloir familial) : seuls 55 établissements pénitentiaires (sur 188 existants) sont dotés de l’un et/ou de l’autre de ces équipements. « Les parloirs des maisons d’arrêt des centres-villes en particulier ne permettent aucune intimité. En outre, et contrairement à la lettre de la loi, l’accès aux UFV (quand elles existent) est souvent conditionné par l’administration pénitentiaire au comportement des personnes détenues », dénonce le Conseil économique, social et environnemental (Cese). Une première étape devrait consister à doter tout établissement d’une unité de vie familiale ou d’un parloir familial. « Il est indispensable d’intensifier les relations familiales pendant la durée d’incarcération…
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