« Il faut former les directions des ressources humaines »
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Publié le : Par : É. V.Lecture : 1 min.
En quoi vous sentez-vous actrice de la lutte contre les violences conjugales ?Forte de son réseau de plus de 6 000 entreprises partenaires, la Face possède une puissance de frappe importante pour soulever toutes les formes d’exclusion, de pauvreté et de vulnérabilité. Et les violences conjugales en font partie. Raison pour laquelle, en 2013, la fondation s’est positionnée sur le sujet avec la conviction que les entreprises pouvaient agir. Avec l’aide de multinationales déjà engagées dans la prévention des violences conjugales au travail, nous avons pu formuler une charte d’engagement, qui a abouti à la création du réseau « OneIn ThreeWomen ». En 2019, nous sommes passés à la vitesse supérieure avec l’élaboration de cette étude, mais ce n’est que la première étape d’une série que nous espérons longue.L’objectif de l’étude est-il rempli, selon vous ?Cette enquête nous a permis de noter des améliorations dans la prise de conscience du rôle que peuvent jouer les entreprises pour lutter contre les violences conjugales. En ce sens, le pari est réussi. Je suis impressionnée par la maturité des entreprises sur cette question. Cela constitue un levier d’action très important pour sensibiliser…
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