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« Le Conseil national pour l’accès aux origines personnelles n’a réussi que 10 % de son entreprise »

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Pupille de l’Etat, Roland Willocq a fait de la protection de l’enfance le combat de toute une vie. Il livre ici sans ambages son opinion quant au rapport sur l’adoption présenté en octobre par la députée Monique Limon et la sénatrice Corinne Imbert.
Que retenez-vous du rapport « Limon-Imbert » remis au Premier ministre et au secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance ?Le rapport a entendu un certain nombre de points, et je le souligne, mais il est nécessaire qu’elles sachent que, pour moi, leur rapport est incomplet, parce qu’il masque une certaine partie de la vérité effective du terrain. La tentative est intéressante, j’y ai apporté quelques corrections, sachant que la plus rude pour moi est évidemment celle de l’accès aux origines personnelles, parce qu’on est là dans la discrimination, dans la volonté de cacher, de mentir par omission. C’est le montage habituel : on ne dit pas ou on fait croire qu’on ne sait pas et, dans ce cadre-là, ça passe au travers. Dès mardi, j’envoie la totalité du travail que j’ai fait à Mmes Imbert et Limon. Elles vont voir ce qui me paraît intéressant ou… problématique. Le secrétaire d’Etat paraît intéressé…
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