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Difficile d’avoir une sexualité quand on est résident Alzheimer

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La maladie d’Alzheimer, en raison de sa médiatisation importante ces dernières années, fait de moins en moins peur. Pour autant, cette pathologie n’est pas encore totalement apprivoisée par la société. Preuve en est, encore plus que pour une personne âgée lambda, dans l’imaginaire collectif, la vie sexuelle de la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer est impensable. Une inconcevabilité qui n’est pas sans conséquence. « Le fait d’avoir été diagnostiqué Alzheimer fait que d’emblée la sexualité de ces personnes court le risque d’être discréditée, d’être contrôlée, voire empêchée », déplore ainsi la psychologue clinicienne Lorraine Ory, dont la thèse de doctorat était « Maladie d’Alzheimer et sexualité : scripts et représentations des familles et du personnel soignant ». Mais, au-delà d’être déconsidérée, la sexualité d’un patient Alzheimer pose le problème du consentement mutuel. Sujet vaste et compliqué que les professionnels ont extrêmement de mal à aborder. Ce qui n’est, encore une fois, pas sans conséquence. « Penser la sexualité de ces personnes uniquement sous l’angle des problèmes de consentement contribue à la ranger du côté des relations abusives, anormales, criminalisées,…
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