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« Pour beaucoup, ce centre est une question de survie »

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A Toulouse, le principal accueil de jour qui reçoit 25 000 personnes par an a dû fermer à cause du délabrement du quartier et de la montée de la violence. Le 7 novembre dernier, des travailleurs sociaux ont réquisitionné un bâtiment pour alerter sur cette situation.
Il suffisait de pousser la porte, elle n’était pas fermée à clef. L’usine désaffectée, située au 30 de la rue Brouardel à Toulouse, vient d’être réquisitionnée ce jeudi 7 novembre à 16 h 30 par les travailleurs sociaux du groupe de défense du travail social (GPS) et des sympathisants. Une action coup de poing pour dénoncer la lenteur des pouvoirs publics à proposer un nouveau lieu à la Boutique solidarité, le principal accueil de jour toulousain, qui reçoit environ 25 000 personnes par an. Située dans le quartier de la gare qui fait l’objet d’une vaste opération d’aménagement démarrée il y a quatre ans, la Boutique a vu les habitants abandonner leur logement suite à des préemptions de Toulouse Métropole. En attendant les travaux, ces appartements vides se sont transformés en squats donnant au quartier l’allure d’un « no mans land ». « C’était devenu ingérable, la violence empirait…
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