Lors du comité national de suivi de l’école inclusive, le 4 novembre, le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et la secrétaire d’État en charge des Personnes handicapées ont salué un « premier bilan encourageant » pour la rentrée 2019. Un point de vue que ne partagent pas les syndicats des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH). Ils dénoncent « la flexibilité imposée » par la mise en place des pôles inclusifs d’accompagnement localisés (Pial) et appellent à la mobilisation nationale le 20 novembre : « La circulaire AESH du 5 juin 2019 est détournée de ses objectifs : non-respect des cinq semaines reconnaissant le travail invisible, augmentation du temps de travail sans revalorisation du salaire, obligation de formation pendant les vacances et hors temps scolaire. »
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