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Les « nouveaux visages » de l’habitat indigne francilien

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L’Institut Paris Région et la direction régionale et interdépartementale de l’hébergement et du logement (Drihl) d’Ile-de-France ont publié, début octobre, deux notes sur la lutte contre l’habitat indigne(1). Retour sur certains constats alarmants d’Anne-Claire Davy, chargée d’études sur les questions d’habitat.
Avec près de 157 000 logements privés « potentiellement indignes » en 2013, soit 4 % du parc privé, l’Ile-de-France est particulièrement concernée par la dégradation du parc résidentiel. Le taux s’élèverait à plus de 7,5 % en Seine-Saint-Denis, qui figure parmi les départements les plus fortement touchés y compris au niveau national. L’Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat (Anah) a consacré en 2018, dans la région, 89,5 millions d’euros d’aides en faveur de 17 600 logements, dont plus de 5 000 indignes ou dégradés (44 % en Seine-Saint-Denis). « Si ce renouvellement urbain a permis de faire disparaître d’importantes poches d’insalubrité du cœur de l’agglomération, on voit se développer d’autres types de bâtis non dédiés à l’habitat (locaux impropres à l’habitation, constructions de fond de…
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