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Enrayer le fléau de l’habitat indigne

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Près d’un an après l’effondrement meurtrier de deux immeubles rue d’Aubagne, à Marseille, et d’un bâtiment de Charleville-Mézières, dans les Ardennes – cette fois sans faire de victimes –, le fléau de l’insalubrité perdure. Un rapport parlementaire pour renforcer l’efficacité de la lutte contre l’habitat indigne et les marchands de sommeil a été rendu, en octobre, au gouvernement.
Avec plus de 40 000 logements jugés dangereux pour leurs habitants, selon le rapport « Nicol » paru en 2015, Marseille, deuxième ville de France, abrite l’un des parcs immobiliers les plus dégradés du pays. Il y a un an, le 5 novembre 2018, l’effondrement d’immeubles insalubres rue d’Aubagne faisait huit morts, jetant une lumière crue sur le fléau de l’habitat indigne. Ce drame a conduit à l’évacuation de près de 400 immeubles et au délogement de plus de 3 500 personnes. Quel bilan aujourd’hui ? « Sur les 359 immeubles évacués, la moitié a pu être réintégrée. 1 479 personnes ont été relogées, par des bailleurs sociaux, dans le parc privé ou des locaux vacants de l’Etat. Le nombre de personnes à l’hôtel s’est déjà considérablement réduit, de 1 300 fin janvier à 400…
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