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« Systématiser le dépôt de plainte crée des effets néfastes pour les victimes »

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Les 270 intervenants sociaux en commissariat et gendarmerie interviennent, sur une année, auprès de près de 100 000 personnes (femmes, hommes, enfants) impactées par de la violence au sein des couples. L’ANISCG formule une série de propositions à l’occasion du Grenelle sur les violences conjugales. Le point avec Laurent Puech, chargé de mission.
Parmi les propositions du Premier ministre à l’ouverture du Grenelle des violences conjugales, le 3 septembre, figure celle d’un audit des 400 commissariats et gendarmeries. Qu’en est-il de la qualité de l’accueil des femmes victimes aujourd’hui ?Certains accueils peuvent se passer de façon absolument inadaptée mais il ne faut pas oublier les centaines de milliers d’accueils dont on n’entend pas parler et qui se passent de façon satisfaisante, voire de manière bienveillante. Ces audits peuvent apporter des éléments complémentaires à ce que les travailleurs sociaux peuvent noter dans les commissariats et les gendarmeries, eux qui y sont tout le temps, toute l’année. Les tensions au sein des couples, sans qu’il n’y ait forcément de violences conjugales, sont une partie essentielle des violences intrafamiliales…
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