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Ni héros ni victimes

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Ils sont 11 millions d’aidants, 11 millions d’invisibles… sauf au moment de la Journée nationale des aidants, le 6 octobre. On commence à savoir qui ils sont, ce qu’ils font, ce qu’ils revendiquent, mais attention à ne pas leur coller trop vite une étiquette qui les enfermerait dans un statut dont ils ne pourraient pas sortir. Ils ne sont ni des héros ni des victimes, juste des hommes et surtout des femmes, parfois des enfants et des adolescents. Certains, d’ailleurs, ne se définissent pas comme aidants, ils font ce qui leur semble juste de faire pour un proche, sans rien attendre en retour. D’autres ne souhaitent pas assumer ce rôle, et disent « non », tout simplement. Aidant n’est pas un métier et ne doit pas le devenir. Pour autant, cela n’empêche pas d’écouter ce qu’ils ont à dire, de les reconnaître, de leur assurer des droits, à commencer dans les entreprises, où ils sont nombreux à travailler, de trouver des alternatives. C’est peut-être également la coordination des soins et le système de santé qu’il faut repenser…Notes« Aidants, ces invisibles » – Dr Hélène Rossinot – Ed. de l’Observatoire, 17 €.
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