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« Il faut au minimum 1,2 milliard d’euros pour les Ehpad »

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Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a beau multiplier les annonces, la grogne de l’Association des médecins urgentistes de France (Amuf) ne diminue pas. Interrogé au lendemain de la présentation du plan de « refondation » des urgences hospitalières, Christophe Prudhomme, son porte-parole, dénonce des investissements en vases communicants, perçus par le mouvement comme un sparadrap sur une plaie béante.
Comment réagissez-vous aux dernières annonces de la ministre ?En plus d’être insuffisant, c’est de la manipulation de chiffres. Tous les médias ont titré « 750 millions pour les urgences », mais c’est une arnaque ! Son cabinet nous a bien précisé qu’il s’agissait d’une réallocation de crédits qui avaient déjà été annoncés dans le cadre de la stratégie « Ma santé 2022 ». Ce qui est donné d’une main est repris de l’autre. Il est clair que cela ne répond pas à nos revendications concernant les effectifs et les salaires. Agnès Buzyn continue de tourner autour du pot et elle n’est plus légitime, car le problème posé n’est pas que le financement des urgences mais celui de l’ensemble de l’hôpital et des établissements d’hébergement pour personnes âgées…
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