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« Systématiser par la loi la protection de la femme »

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Aurélien Pradié a déposé une proposition de loi sur les violences conjugales qui sera examinée le 10 octobre devant l’Assemblée nationale. Priorités : faciliter la délivrance d’ordonnances de protection même si aucune plainte n’a été déposée, et généraliser le bracelet électronique anti-rapprochement.
Que pensez-vous des mesures annoncées par le Premier ministre ?Certaines de ces annonces reprennent des dispositions prévues dans notre proposition de loi. Si notre initiative a permis d’accélérer le calendrier, nous nous en félicitons. Désormais, il faut que l’on passe à plus de précisions. Sur le bracelet électronique anti-rapprochement, le Premier ministre a été assez imprécis. Il n’a pas donné le calendrier, il a dit avoir « bon espoir » que la loi soit modifiée pour le généraliser. Il a évoqué des propositions de loi de députés, mais pour le moment, mis à part la nôtre, aucune n’a été déposée. Tout cela manque d’ambition, notamment sur le volet budgétaire. On s’attendait à ce que le Grenelle initie une quasi-révolution, comme cela a pu être le cas en Espagne. Il n’y a pas eu de choc radical. On ne peut pas dire que les annonces d’Édouard Philippe…
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