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Réforme de la carte ADA : début d’une nouvelle galère ?

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Courses au marché ou à la boulangerie, paiement à l’unité de tickets de transports, laveries, cantines scolaires, 50 centimes demandés par certains accueils de nuits du 115… Jusqu’à présent, pour effectuer des achats, un demandeur d’asile pouvait retirer le montant de son allocation (6,80 € par jour) en espèces dans des distributeurs de billets. Et ce, dans la limite de cinq retraits par mois. A partir du 5 novembre, la carte de retrait sur laquelle est versée chaque mois l’allocation pour demandeur d’asile (ADA) deviendra exclusivement une carte de paiement électronique.Une réforme soudaine, annoncée le 23 juillet par l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii), à la surprise générale des acteurs de l’asile. « Sans aucune concertation préalable et sans aucune analyse des besoins du terrain », critique Florent Gueguen, directeur général de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS). « La carte ADA actuelle a un gros défaut. Elle ne permet aux demandeurs d’asile que seulement cinq retraits par mois, et ils ne peuvent consulter leur compte bancaire que quelques fois, sous peine d’avoir des frais. L’Ofii change le système pour permettre aux demandeurs d’asile de…
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