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« Modifier le regard posé sur la personne vivant la maladie »

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Le personnel de l’Ehpad Louis-Onorati, à Bubry (Morbihan), a récemment suivi la formation innovante Carpe Diem. Comme l’explique Stéphane Bollea, son directeur, cette méthode d’accompagnement de la maladie d’Alzheimer venue du Canada se fonde essentiellement sur l’autonomie des personnes.
Comment avez-vous connu cette méthode d’accompagnement ?Lorsque je suivais ma formation de directeur d’établissements médico-sociaux, j’ai choisi de travailler plus spécifiquement sur le public des personnes âgées. Je me suis alors renseigné sur les prises en charge existantes et me suis notamment intéressé à ce qui se passait en dehors de la France. Plus particulièrement sur une méthode canadienne appelée « Carpe Diem » qui se base, en partie, sur la pédagogie de Carl Rogers, que j’utilisais quand je travaillais dans le secteur de l’enfance et de la jeunesse.En quoi consiste-t-elle ?Il faut avant tout préciser que la méthode Carpe Diem n’est pas exclusivement réservée aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Elle peut aussi servir dans l’accompagnement des enfants, des personnes âgées… Elle privilégie la dimension humaine qui permet de maintenir…
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