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Une situation toujours plus difficile pour les défenseurs des droits

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Criminalisation, violences policières, harcèlement… Dans un rapport à charge, publié le 5 juin, Amnesty International revient sur la situation des personnes qui défendent à Calais et à Grande-Synthe les droits des migrants.
Après avoir assisté à des violences policières contre des bénévoles qu’il a filmées à Calais en juillet 2018, Tom Ciotkowski, un défenseur des droits britannique, a été placé en garde à vue 36 heures et poursuivi pour« outrage et violence ». Son procès devait s’ouvrir le 13 juin. Comme lui, de nombreux défenseurs des droits, qu’ils soient bénévoles ou salariés, ont été témoins ou ont fait l’objet, selon Amnesty International de violences et d’intimidation. Dans un rapport intitulé « La solidarité prise pour cible », rendu public le 5 juin, l’organisation non gouvernementale (ONG) décortique la politique mise en place 30 mois après le démantèlement de la « jungle de Calais » et pointe de nombreuses violations des droits des exilés.« Les attaques dont font l’objet ces défenseurs des droits humains sont liées à la situation dans laquelle se retrouvent les personnes déracinées qui vivent dans la région de Calais et de Grande-Synthe.…
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