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Un nombre de directives anticipées en légère hausse

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Seuls 13 % des Français de plus de 50 ans ont rédigé des directives anticipées (contre 11 % en 2018), selon un sondage commandé par le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie et publié le 20 mai.
L’affaire « Vincent Lambert » connaît de nouveaux rebondissements ces derniers jours. Au-delà de savoir s’il faut ou non arrêter les traitements, cette affaire met aussi en lumière la question de la rédaction des directives anticipées. Trois ans après la loi « Claeys-Leonetti » du 2 février 2016 sur la fin de vie, le nombre de Français ayant rédigé ces fameuses directives anticipées a « très légèrement » augmenté selon un sondage publié le 20 mai. Commandée par le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV), cette enquête montre cependant que cette pratique reste peu répandue. En effet, seulement 13 % des Français de plus 50 ans ont rédigé des directives anticipées, contre 11 % en 2018. Et 34 % des personnes interrogées indiquent souhaiter le faire (contre 32 % en 2018).« Cette hausse n’est pas très significative, confirme Sandrine Bretonnière, responsable du pôle « études et données » au CNSPFV. En revanche, ce…
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