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L’état de santé et l’espérance de vie des gens du voyage sont moins bons que ceux de la moyenne de la population. Si la médiation en santé améliore l’accès aux droits et aux soins des voyageurs, les acteurs du terrain insistent sur l’urgence d’améliorer leurs conditions de lieux de vie et de se pencher sur la problématique de l’accompagnement de la perte d’autonomie.
IL EXISTE PEU D’ENQUÊTES ÉPIDÉMIOLOGIQUES CONCERNANT LES GENS DU VOYAGE. Celle souvent citée en référence est une enquête menée, en 2000, par Médecins du monde dans le cadre du projet Romeurope. Elle montrait que l’espérance de vie des populations tsiganes est, en moyenne, inférieure de quinze ans à celle de la population générale : de l’ordre de 50 à 60 ans, contre plus de 80 ans en France actuellement. Dans un constat établi en juin 2017, Santé publique France pointait du doigt « un cumul de déterminants sociaux, économiques et environnementaux défavorables, entraînant une forte vulnérabilité face aux problèmes de santé et d’accès aux soins. Ces expositions multiples doivent entraîner des fréquences élevées de maladies et un état de santé dégradé  ». L’agence scientifique rappelait…
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