Publié le : Dernière Mise à jour : 26.04.2019Lecture : 1 min.
Huit mois après l’entrée dans le dispositif, 29 % des bénéficiaires de la garantie jeune sont en emploi, 41 % au bout de 19 mois, pour un taux d’emploi qui augmente de dix points après onze mois.Ces chiffres encourageants sont révélés par la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) dans sa publication La Garantie jeunes : quels jeunes et quel bilan après cinq ans ? du 17 avril. L’étude porte sur les jeunes entrés dans le dispositif entre octobre 2013 – à sa création – et juillet 2018, soit 229 000 personnes. « Conformément à la cible du dispositif, ces jeunes ni en emploi, ni en études, ni en formation1 au moment de l’entrée en Garantie jeunes connaissaient une situation économique et sociale précaire et présentaient des freins importants à l’emploi », indique la Dares en préambule. Au rang desquels : peu ou pas de diplômes (la moitié d’entre eux n’ont pas validé une formation de niveau CAP-BEP), absence de permis B pour les deux tiers de ces jeunes (contre 70 % des jeunes de cette classe d’âge) qui entraîne des problèmes de mobilité pour 22 % d’entre eux, difficultés à se mettre en valeur ou à se vendre (20 %), manque d’expérience professionnelle…
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