Publié le : Dernière Mise à jour : 26.04.2019Par : Maxime RicardLecture : 3 min.
Le Conseil de la CNSA a adopté, le 18 avril, sa contribution à la réforme « autonomie et grand âge ». L’une des conclusions de ses réflexions est que, sur la question du domicile, le rapport « Libault » ne va pas assez loin.
En matière de perte d’autonomie, de dépendance, quand la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) parle, on l’écoute. Dès lors, quand celle-ci émet des critiques sur le récent rapport « Libault », il y a fort à parier que le gouvernement va l’entendre en vue de l’élaboration de la future loi « grand âge et autonomie », prévue pour la fin de l’année. Alors que le Conseil de la CNSA, a adopté, le 18 avril, à l’unanimité, sa contribution pour cette réforme, sa présidente, Marie-Anne Montchamp, a assuré le service après-vente auprès des journalistes, le 23 avril. Elle a tout d’abord rappelé que, pour la CNSA, « cette réforme de l’avancée en âge appelle une grande loi d’orientation. C’est-à-dire une loi qui n’est pas uniquement resserrée sur des questions de soins et d’accompagnement médico-social mais dont l’ambition est vraiment de permettre une évolution de nos organisations sociales pour faciliter l’avancée…
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