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Instituts nationaux de jeunes sourds et aveugles : transformation ou dilution ?

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A l’approche de la phase de concertation nationale, les craintes de l’intersyndicale des instituts nationaux de jeunes sourds et aveugles ainsi que des parents d’élèves sont toujours les mêmes que celles exprimées lors de la grève du 4 avril. Mais, pour le gouvernement, l’inclusion passe par le changement.
Pour les 900 professionnels et les parents des 1 000 élèves des quatre instituts nationaux de jeunes sourds (INJS) et de l’Iinstitut national des jeunes aveugles (INJA), le combat n’est pas fini. Après une grève, le 4 avril, réunissant différents syndicats (SNJSJA UNSA, CFDT, CFTC, SUD…) et l’Association des parents et amis des instituts nationaux (APA-INJ) contre la mise à bas de leur expertise, sacrifiée sur l’autel d’une inclusion-totem, leurs inquiétudes restent vivaces. Un rapport de l’inspection générale des affaires sociales (IGAS), de mai 2018, avait mis le feu aux poudres. Tout en reconnaissant une « vraie utilité » aux instituts nationaux, il recommande de développer les pratiques d’inclusion dans des réseaux d’écoles et d’établissements d’enseignement partenaires, en transférant la tutelle des instituts nationaux aux agences régionales…
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